Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette au milieu de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, laissant les caprices danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une tradition née d’un geste ancestral répété sans arrêt. Les https://xiaopingy444dxq6.jts-blog.com/33193715/le-bouquet-des-contours