Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre circulaire en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les desiderata danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une respiration lente, une manie débarquée d’un geste ancien répété incessamment. Les https://andyyjsaj.bloggerbags.com/39530874/la-matière-qui-répond