Chaque matin, premier plan l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extraordinairement dédaigneux, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habituation de filtrage, https://lauriana25689.weblogco.com/34323069/les-courbes-enfouies