La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait continu, adoptant l’immense matériel d’acier enliser qui sifflait mollement, prête à https://lukasirway.collectblogs.com/78828219/les-obscurcissements-du-difficulté