Le calme pesait sur l’abbaye de la même façon qu'un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait se munir d' des murmures indistincts, par exemple si la joyau elle-même conservait la évocation des âmes disparues. Le moine restait prostré devant le manuscrit, sa inspiration saccadée, les https://andersonzabyz.aioblogs.com/86881740/le-fin-du-destin